jueves, 13 de noviembre de 2014

BUSCANDO EN LOS VIEJOS ARCHIVOS

L'instant coupé en biais

Beaucoup de temps m'a trompé ton profil sauvage et trepidante,
cet arc-en-ciel éloigné du temps réel occulte après l'ombre de tes cils.
Beaucoup de temps j'ai patiemment observé le voile de ton regard
jusqu'à comprendre la cruelle réalité.
Tes baisers seront toujours un désir, une espérance vaine qui alimente
le sens d'une vie qu'ou bien il frappe à sa fin.
Je t'a adore sans des réserves dans la cruelle lamentation du silence le plus abrupt.
Je ne sens pas déjà la douleur de cette fatigue terminale
des larmes restent dans mon coeur
pour t'offrir
Je survis simplement.

Jean-Jacques de Latable de Pierre



Tout coule

Pour savoir combien de soupirs sont partis
dans le vaste océan de l'amour pur,
Combien de rêves été dilué
dans les caresses veillées du désir subtil,
de combien de larmes amoureuses
il a arrose cette terre en soie.
Nous avons tout perdu
inexorablement,
il ne reste rien
dans le souvenir de silencieux,
la vie continue,
tout coule.

Jean-Jacques de Latable de Pierre